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 Quatrième de couverture : Ferdinand von Saar, que lon peut définir comme la "Maupassant viennois", analyse avec subtilité les problèmes psychologiques liés aux mutations et aux tensions sociales de son temps. Ses nouvelles mettent en scène les travers et les dérives dun monde figé dans ses traditions mais déjà engagé sur la pente de la décadence. Le Lieutenant Burda sinscrit pleinement dans cette veine cruelle. Cette nouvelle, raconte lhistoire dun officier dorigine petite-bourgeoise épris dune jeune femme de la haute aristocratie et décrit les désillusions paralysantes que provoque cette passion impossible. Le destin de cet officier soucieux délégance, de savoir-vivre et dascension sociale sachèvera de la manière la plus brutale. Ferdinand von Saar excelle dans la description dune société où les codes de caste et la pesanteur des conventions suscitent de violents désirs de transgression. Brisé par ses maladresses et ses illusions, le lieutenant Burda connaît le sort funeste dun héros de tragédie. Poète, dramaturge et nouvelliste autrichien, Ferdinand von Saar (1833-1906) sinscrit dans le courant du réalisme psychologique. Ses récits inspirés par un profond pessimisme ont donné le ton de la modernité. | Ferdinand VON SAAR (1833-1906) | ||||||||||||||||||
| Nous avons lu 
              ce livre pendant notre septième SEMAINE 
              LECTURE du 28 juin au 5 juillet 2025 en Bretagne (présentation 
              ICI). 
                Les 
              livres lus pendant la semaine  - Samedi 
              :  Sándor MÁRAI, 
               Les 
              étrangers (Hongrie) Et le palmarès ici | 
| Nos 
              19 cotes d'amour  Manuel 
              Marie-Thé Sylvie  Annick A 
              Claire Édith 
              Françoise Jérémy 
              Rozenn entre  et  Danièle  Annie 
              Catherine 
              Chantal Fanfan Fanny Jacqueline Katell  Annick L 
              Suzanne La séance s'est tenue dans la "salle de bal" du restaurant Les Trois Marchands à Guéméné-sur-Scorff, ouvert uniquement pour nous ce soir-là | 
Fanny (avis 
        transmis)
(avis 
        transmis)
        J'ai 
        aimé l'écriture et notamment la manière dont le personnage 
        de Burda est campé dans les premières pages.
        Concernant ce personnage, il m'a inspiré un mélange d'agacement 
        voire d'exaspération, par sa suffisance vis-à-vis de ses 
        pairs, mais aussi de compassion. J'ai trouvé que l'auteur rend 
        très bien ce profil.
        J'ai trouvé également habile de le dépeindre à 
        travers le récit d'une tierce personne, plutôt que de raconter 
        au présent le déroulé de l'intrigue. 
        Seulement cette tierce personne qui fait narrateur est à mes yeux 
        assez falot. J'ai l'impression qu'il n'a pas d'autre fonction que de refléter 
        l'évolution de Burda. C'est dommage, car un personnage ayant davantage 
        d'envergure aurait pu donner plus de coffre au texte.
        La folie sans cesse grandissante de Burda est très bien rendue 
        avec tous ces signes qu'il interprète et qui continuent à 
        le convaincre de l'amour de la princesse. 
        Même si l'enjeu de la nouvelle est à mes yeux de dresser 
        un portrait à la fois sociétal et psychologique, la fin 
        est totalement prévisible.
        Le format nouvelle est adapté, je me serais probablement 
        lassée sur un format plus long. J'ouvre ½.
        Jacqueline (avis 
        transmis)
(avis 
        transmis)
        Adèle H au masculin ! étonnant ! J'aurais aimé être 
        touchée par ce pauvre lieutenant dont le portrait qu'en dresse 
        Saar au début du début était assez impitoyable. 
        J'étais assez séduite par l'écriture classique. 
        En même temps, je n'ai pas éprouvé un grand intérêt 
        pour cette vie de garnison, ni pour les détails précis sur 
        les lieux
 et encore moins pour les notes qui ont alourdi ma lecture
 
        J'ai apprécié la photo de couverture, mais surtout le portrait 
        bonhomme de Saar que je ne connaissais pas. 
        J'ouvre à moitié. 
        Édith
        L'interrogation sur la capacité du lieutenant à s'aveugler 
        : tout le récit n'est que cela, comment le pouvoir rend le discernement 
        compliqué et ici impossible. 
        A chaque nouvel élément qui fait avancer le récit 
        et qui aurait pu alerter ce dernier, le lieutenant trouve (adresse de 
        l'auteur) une réponse "vraisemblable" et qui renforce 
        sa conviction : il est aimé de retour par cette aristocrate. 
        La construction habile de ce court roman rend la lecture agréable, 
        on attend la chute du lieutenant. Je suis témoin de sa chute comme 
        son entourage trop peureux.
        C'est l'époque de la fin de l'empire austro-hongrois ; nous avons 
        souvent lu des romans se situant dans cette époque, et j'aime cela.
        J'ouvre aux ¾.
        Annick A
        J'ai trouvé ce prétentieux complètement parano. Il 
        finira par en mourir.
        J'ai bien aimé le livre, situé dans une époque : 
        ça, c'est extrêmement intéressant.
        C'est dommage qu'ils meurent
        L'auteur se tuera d'ailleurs.
        C'est assez bien écrit, ça se lit facilement, c'est une 
        belle écriture et une période assez intéressante. 
        
        J'ouvre donc aux ¾.
        Annie
        Je suis assez mitigée.
        J'ai beaucoup aimé l'écriture.
        C'est une belle image de ce qui se passe à cette époque.
        Mais je me suis un peu ennuyée. C'est cousu de fil blanc. J'attendais 
        un contre-pied. Je n'ai pas été passionnée donc j'ouvre 
        à moitié.
        Fanfan
        J'ouvre à moitié pour l'écriture et la montée 
        de la folie.
        Au-delà de la passion, advient la folie et ça, ça 
        m'a plu.
        Ce n'est pas comme hier avec La nonne-soldat 
        où l'écriture raide était à mourir, ici l'écriture 
        est magnifique.
        On peut le lire aussi comme un conte avec une princesse, qui accompagne 
        son délire.
        C'est un peu truculent, l'écriture tient et rappelle la vie à 
        Vienne.
        Rozenn
        J'ai bien aimé. C'est facile. Intéressant. J'ouvre donc 
        aux ¾. 
        La comparaison que fait la postface avec la nouvelle d'Arthur Schnitzler 
        Le Sous-lieutenant Gustel 
        que j'ai lue ne tourne pas à l'avantage de von Saar : l'aperçu 
        sur la société est intéressant, mais un peu plat.
        Annick L
        Après les deux premiers livres - celui de Marai, 
        bien écrit mais ennuyeux, le deuxième, d'Erauso, 
        surprenant mais mal conçu, j'ai apprécié la découverte 
        de ce roman : l'écriture est classique mais fluide, la peinture 
        sociale est subtile et j'ai trouvé l'évocation de cette 
        folie amoureuse fatale bien menée. Quant au narrateur, s'il reste 
        en retrait, il joue parfaitement son rôle d'observateur plein d'empathie. 
        
        Le sujet est banal, le format réduit, mais j'ouvre au quart pour 
        le plaisir.
        Chantal
        J'ai trouvé plein de fautes dans ce livre, mal corrigé donc 
        ! 
        Concernant l'écriture, je vous rejoins.
        Mais j'ai ras-le-bol du XIXe siècle.
        Là, ça m'allait parfaitement. C'est fluide, je me suis dit 
        quand même, c'est agréable.
        Et ce narrateur, très jeune, a fait ce qu'il a pu : purée, 
        il avait de la patience.
        Cette folie est intemporelle.
        Suzanne
        J'en ai moi aussi marre de voyager au XIXe siècle.
        C'est bien écrit. 
        La montée de la folie est très bien vue.
        J'avais envie de sauter de ma chaise, en reconnaissant des poncifs.
        J'ouvre ¼.
        Catherine
        Ça a été un plaisir, mais modéré.
        C'est bien écrit, bien fait.
        Ce qui est dit de la société est intéressant.
        C'est la progression du personnage qui a été pour moi le 
        plus intéressant, avec ses interprétations.
        On sent aussi la fin d'une époque. C'est pas mal, mais on reste 
        un peu sur sa faim.
        Danièle 
        entre  et
et
        Ce livre relate des événements qui se sont produits dans 
        la première moitié du XIXe siècle. L'intérêt 
        du livre est l'évocation de la société de l'époque 
        où les titres de noblesse sont plus importants que la valeur militaire, 
        mais aussi la passion montante et débordante que le lieutenant 
        Burda éprouve pour l'une des princesses. 
        Je ne suis pas sûre que ce soit par intérêt ou parce 
        qu'il serait prétentieux. Je crois plutôt à une sorte 
        de coup de foudre qui lui fait perdre tout sens de la réalité. 
        En fait, c'est une sorte de folie qui lui fait interpréter le moindre 
        signe en sa faveur. Il ramène tout à lui, par exemple la 
        couleur jaune de sa robe qu'elle porterait en allusion à la couleur 
        de son régiment. Il est le centre d'une fiction qu'il se crée. 
        
        Le narrateur ne me semble pas si fade que cela. Il avait capté 
        les signes d'agacement de la princesse, et il essaie avec diplomatie de 
        trouver les paroles qu'il faut pour mettre le lieutenant sur ses gardes. 
        Peine perdue, Burda s'enfonce avec délices dans son monde de délires. 
        Il en serait même presque touchant
 et énervant à 
        la fois. J'aime cette observation quasi clinique d'une certaine folie. 
        En tout cas, par son comportement qui devient effectivement prétentieux, 
        il se met à dos le reste du régiment. Ce qui toutefois nous 
        donne l'occasion de noter sa droiture et son courage, ou bien, encore 
        une fois, son déni de la réalité au moment du duel. 
        La fin est cruelle, car s'il est fou, son adversaire l'est plus encore, 
        qui l'assassine en quelque sorte.
        J'ouvre entre moitié et ¾.
        Claire
        J'ai bien aimé la photo de la couverture, un escrimeur célèbre 
        hongrois, Béla 
        Békessy (en 1904, il n'a pas pu participer au JO car François-Joseph 
        a interdit aux membres de l'armée commune de concourir sous les 
        couleurs hongroises...) ; vous remarquerez qu'il y a plein de feuilles 
        blanches à la fin pour prendre des notes quand on participe à 
        un club de lecture... et comme Chantal, j'ai vu que la relecture de l'éditeur 
        laisse à désirer. J'avais déjà fait la remarque 
        pour un autre livre et l'éditeur m'avait envoyé gratuitement 
        un livre, je vais essayer de faire la même chose...
        Bref, pour ce qui est du texte, j'ai trouvé subtile la tension 
        qui est nourrie par la relation des deux hommes à propos de l'idylle 
        illusoire : ce narrateur introduit une distance, et nous sommes trois, 
        le lieutenant, le narrateur, le lecteur. Un coup de théâtre 
        en rajoute p. 39 : le major envoyé de l'Altesse qui a bien vu le 
        manège et qui veut que ça finisse.
        On voit bien que le lieutenant déconne de plus en plus, et déjà 
        p. 60 notre copain le narrateur le traite entre nous de fou. J'ai 
        vibré à lire cette vie tragique fondée sur le paraître... 
        
        J'ai bien aimé l'exotisme : on fume la chibouque...
         Autoportrait à la chibouque, par Horace Vernet, 1835 (musée 
        de lHermitage, 
        Saint-Pétersbourg)
 
        Autoportrait à la chibouque, par Horace Vernet, 1835 (musée 
        de lHermitage, 
        Saint-Pétersbourg)
        
        Et les éléments de contexte historique, comme la guerre 
        de Crimée. L'aspect cosmopolite de Prague m'a rappelé l'ambiance 
        de Paris dans Les étrangers et cette 
        même période finissante dans La 
        crypte des capucins de Joseph Roth ("Prague 
        était en ce temps-là, un séjour très agréable. 
        Les particularismes nationaux ne s'y étaient pas encore transformés 
        en conflits déclarés ; ils fermentaient et frémissaient 
        souterrainement, encore imperceptibles pour un il non averti, et 
        même si l'on ne pouvait pas dire que la ville était allemande, 
        en raison de l'élément slave qui constituait la part essentielle 
        de la population, elle était en tout cas internationale au meilleur 
        sens du mot. ")
        Encore une fois se pose la question de la définition du livre car 
        la postface ou les notes évoquent des auteurs lus à Voix 
        au chapitre, ce qui ne peut laisser indifférent... : Pères 
        et fils de Tourgueniev donnerait une clé pour le nom du 
        héros (note 47), et je vois Theodor 
        Fontane, Magris, 
        Le 
        joueur de Dosto, Don Quichotte, à croire que Jacques Le 
        Rider suit nos lectures...
        J'ai beaucoup aimé le récit de la carrière de Von 
        Saar, avec sa protectrice la princesse Marie 
        de Hohenlohe-Schillingsfürst et une salonnière importante 
        Josephine 
        von Wertheimstein - c'est d'un romanesque... - et même 
        sa conseillère littéraire Marie 
        von Ebner-Eschenbach, écrivaine ; bon il finit mal c'est sûr, 
        en se suicidant.
        J'ai noté que l'oeuvre de Von Saar relève d'un mouvement 
        littéraire dont je n'ai jamais entendu parler le "réal-idéalisme" 
        p. 105, je note, je note...
        J'ai bien aimé aussi les variations pour décrire la maladie 
        du personnage : herméneutique paranoïaque et j'en passe, mais 
        ce que j'ai apprécié est cette interprétation de 
        Carl Emil Schorske : "la 
        nouvelle décrit les problèmes psychologiques causés 
        par le manque de mobilité sociale" - j'adore, c'est 
        bien ça !
        Et enfin, le projet du livre mentionné par l'auteur - toujours 
        dans la postface décidément riche : "Je 
        voulais montrer ce qu'il y avait de complètement creux 
        et inconsistant dans la vie de Burda - et même dans cette 
        époque tout entière." Je trouve les objectifs 
        atteints.
        Le titre original était Vanitas - c'était parfait.
        Jérémy
        Je m'inscris en faux par rapport à ce qui a été dit 
        du XIXe siècle : j'adore ce siècle et bien des romans 
        qu'il a fait naître.
        J'adore Vienne et j'adore l'époque qu'évoque le livre.
        Ce qui m'a marqué, et qui relève peut-être du " 
        boulevard ", est comédie ou tragédie.
        Au début, j'y ai un peu cru, qu'elle était amoureuse, pourquoi 
        pas. P. 63, c'est un point de bascule.
        L'état du personnage m'a rappelé le complotisme : on 
        a envie de croire à quelque chose. Là c'est la grenouille 
        qui veut se faire plus grosse que le buf. Il est émouvant 
        dans son jusqu'auboutisme de Rastignac. J'ouvre aux ¾ ce qui est 
        une nouvelle.
        Manuel
        Il brûle et ça le rend malade, lui qui est brillant. 
        On le voit au théâtre au parterre. Et il ne peut se payer 
        un cheval, on voit qu'il y a des problèmes de "classe".
        Son délire de parano rappelle Madame Bovary.
        A la fin, il y a un retournement et il sera soutenu, mais trop tard.
        Les notes sont passionnantes.
        J'adore aussi Vienne et j'aime l'arrière-plan historique, avec 
        la montée des nationalismes.
        J'ouvre en grand.
        Françoise
        J'ai aimé. 
        Je ne partage pas l'analyse du personnage. Il est amoureux. Il est ébloui. 
        Je ne le trouve pas antipathique. 
        J'ai pensé à Tourgueniev, où dans Pères 
        et fils le nihiliste tombe amoureux, et aussi à Jane Austen, 
        avec cette mécanique sociale.
        Il a un sacré courage.
        J'ai été intéressée par ce récit où 
        en tournant chaque page, je disais alors et après
        Je ne me suis pas du tout ennuyée. C'est fluide et cohérent.
        J'ouvre donc aux ¾.
        Katell
        J'ai trouvé ça très plaisant. C'est bien pour la 
        piscine. 
        Ferdinand von Saar n'est pas un très grand auteur, c'est plaisant 
        mais pas mineur, tout en étant d'un tout petit talent.
        Je rejoins Jérémy, j'y croyais aussi.
        J'ai adoré les notes et l'histoire du cheval.
        Et j'aime l'évocation de Vienne des années 1850 et quelques.
        J'ouvre ½. 
        
        Sylvie
        J'ai beaucoup aimé ce livre qui se lit facilement. 
        J'aime l'écriture.
        J'aime aussi le fait qu'on m'emmène dans l'Histoire.
        Il est question d'ascenseur social, d'une part à travers l'armée, 
        d'autre part à travers l'aimée.
        On voit comment ils vivent assez misérablement.
        J'ai imaginé l'architecture de Vienne, le kiosque à musique, 
        l'opéra, la vie extérieure. Oui, la folie est possible, 
        il est prêt à tout, avec ce rêve qui le dévore.
        L'autre personnage, le témoin, finit par croire à cet amour, 
        auquel, lui, le lieutenant, croit à fond. Peu à peu ça 
        s'intègre dans une folie.
        J'ouvre en grand !
        Marie-Thé
        J'ouvre 
        en grand ce livre court dont j'aime l'écriture et l'intrigue, même 
        si le lieutenant Burda, d'abord idéaliste, finit par basculer dans 
        une passion destructrice. J'ai aussi aimé qu'en quelques pages 
        tout soit campé, décor, personnages, c'est théâtral, 
        et dans une atmosphère pesante, oppressante, on avance lentement, 
        mais inexorablement, dans un délire qui aboutit au drame. Le lieutenant 
        Burda fait peur. Je vois ici un personnage redoutable, exigeant, pour 
        qui honneur et apparence sont extrêmement importants, méprisant 
        pour les "inférieurs", fasciné par l'aristocratie, 
        arrangeant par ailleurs tout à sa convenance... 
        De cet être complètement à côté de la 
        réalité, ces quelques mots parmi d'autres : "savoir 
        qu'on occupe les pensées, l'imagination d'un tel être"...
        J'ai lu qu'il y a quelques ressemblances avec la vie de l'auteur, F. von 
        Saar, dans cette nouvelle. J'ai aussi pensé à Maupassant. 
        Et surtout à Joseph Roth avec Le 
        Chef de gare Fallmerayer 
        - troublantes ressemblances , mais l'histoire 
        ne se déroule pas de la même façon. 
        Enfin, je retiens la description de Vienne. Et j'ajouterai que j'aime 
        ce qui se rapporte au XIXe siècle allemand, autrichien, prussien... 
        
         
      
QUELQUES INFOS AUTOUR DU LIVRE
PRÉSENTATION DE L'AUTEUR dans la postface du livre et sur wikipédia
LIVRES TRADUITS 
        - Les Tailleurs de pierre et Innocens, trad. Anne-Catherine 
        Tourski-Strebinger, in Nouvelles slaves, éd. Westhausser, 
        1886
        - Le Château de Kostenitz, précédé 
        de Ferdinand von Saar : Le Château de Kostenitz, par Hugo 
        von Hofmannsthal, traduit et postfacé par Jean-François 
        Boutout, Le Promeneur, coll. Le Cabinet des lettrés, 2003.
Éditions 
        bilingues David Thieulin, Houppeville, trad. David Thieulin :
        - Le brasseur d'Habrovan, 2018
        - Les casseurs de pierres, 2020
        - Le Docteur Trojan, 2023.
Éditions 
        Bartillat,  trad. et préface  
        Jacques Le Rider :
        - Le 
        Lieutenant Burda,2023
        -  
        Histoire d'une enfant de Vienne, 2024
        - La 
        violoniste, 2025.
La plupart des uvres en allemand se trouvent sur Gutenberg.
ECHOS DANS LA PRESSE
        - "Le 
        Lieutenant Burda : Ferdinand von Saar, le Maupassant viennois", 
        Denis Cosnard, Le Monde, 16 octobre 2022
        - "Von 
        Saar, fin de siècle", par Jean-Luc Tiesset, En attendant 
        Nadeau, 14 novembre 2022
        - "Ferdinand 
        von Saar, Le Lieutenant Burda", Karl Zieger, Austriaca, 
        n° 94, 2022
        - Le 
        Lieutenant Burda, de Ferdinand von Saar, Céline Laurens, 
        Revue des deux mondes, février 2023
        - "Le 
        lieutenant Burda ou la mythomanie", Les Quadrithèmes 
        de Charles Dantzig, France Culture, 26 septembre 2022, 3 min.
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