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      Eric Hazan 
        LQR, La propagande du quotidien
      Nous avons lu ce livre en janvier 2007.
       
      Claire  
        Liliane avait été très convaincante quand elle nous 
        avait vanté ce livre que nous avions décidé de programmer. 
        Je l'ai acheté les yeux fermés, je l'ai ouvert..., avec 
        toutes ces notes en bas de page... j'ai eu une syncope et ai essayé 
        de le faire déprogrammer, en vain... Je l'ai lu aux Antilles.... 
        en fait sans difficulté. Je l'ai annoté et avais l'intention 
        de restituer un avis argumenté, ce que je n'ai pas fait hélas. 
        Ce livre m'a exaspérée. Un livre paresseux, mal foutu, qui 
        ne tient pas la route. Il dénonce à tort et à travers. 
        Il n'est jamais convaincant. Et lui ? Où est-il ? Que 
        prône-t-il ?  
        Et soudain p.106-107... "il est là, il est là !" 
        Il est mû par une nostalgie stérile de la révolution, 
        de la lutte des classes. Il utilise en fait lui-même une langue 
        de bois (émancipation, subversion) qui le discrédite. Cette 
        cueillette de mots était un début, mais le livre m'inspire 
        presque du mépris.  
        J'ai trouvé un article plus sérieux que mon avis à 
        l'emporte-pièce, bien charpenté, auquel j'adhère 
        totalement : http://www.liens-socio.org/article.php3?id_article=1163 
       
      Ève  
        J'aime bien ce genre de livre, je me sens "pousser des neurones". 
        C'est un dangereux gauchiste, mais cependant il a un grand talent de décryptage. 
        J'ai été gênée au départ par "ce 
        langage n'est pas né d'un complot organisé". Le projet 
        est peu clair, mais je me sens interpellée : "on parle 
        tous LQR". L'auteur est de mauvaise foi, mais j'ai tout de même 
        bien aimé le livre.  
      Christine  
        Je suis de l'avis de Claire, en moins violent. Je n'ai pas de mépris, 
        mais je suis déçue. C'est trop survolé, on apprend 
        peu de choses. J'ai été plus intéressée par 
        les champs militaires, le passage sur la crise. Il y a un saupoudrage 
        d'exemples pris dans tous les journaux. A qui ce livre s'adresse-t-il ? 
        Ça ne donne pas de clés. 
      Monique  
        Je ne l'ai pas lu en entier par manque de temps et de disponibilité 
        d'esprit. Je suis très gênée par le titre "la 
        langue de la 5e République" en comparaison avec la LTI. On 
        ne peut pas comparer avec la langue du 3ème Reich. On ne peut pas 
        les mettre sur le même plan. Les exemples qu'il donne ne sont pas 
        spécifiques à la 5ème République, ce sont 
        des expressions de la langue d'aujourd'hui, c'est beaucoup plus large. 
        Ce n'est pas intéressant. Mais à qui s'adresse ce livre ? 
        On est tous pris là-dedans, mais on en est conscient. Les journalistes, 
        les publicitaires, sont très au point et ne cachent pas l'utilisation 
        qu'ils font de la langue. Le décryptage de l'image et de la publicité 
        s'apprend désormais à l'école. On n'est pas dans 
        une dictature. Tout ce qui est dit sur le langage guerrier, on trouve 
        ces mêmes études plus approfondies sur le langage amoureux 
        utilisé depuis très longtemps ; il y a transposition 
        du vocabulaire d'un domaine à un autre. Le langage utilisé 
        par les politiques ne trompe personne. 
        On n'est pas dupe. Les humoristes comme Coluche le décryptent depuis 
        longtemps. La conclusion ne permet pas de comprendre son projet. 
      Jacqueline  
        Ça fait partie des livres qu'on lit et puis qu'on oublie. J'attendais 
        des révélations. Je l'ai lu avec amusement. Il parle d'une 
        langue, mais prise par le petit bout de la lorgnette. Je suis allée 
        voir sur internet qui est cet auteur, et j'admire son passé courageux 
        (il a été entre autre porteur de valises pour le FLN). J'ai 
        pris à la bibliothèque La LTI de Kemperer à 
        laquelle il se réfère. Ce sont des carnets de notes, son 
        journal de l'époque. J'ai relu le début de La LQR : 
        l'auteur "pinaille" et c'est embêtant, exemple : 
        le mot "crise", un euphémisme ! 
      Françoise  
        Le projet est séduisant, mais si l'on suit Hazan et contrairement 
        à ce qu'il dit, la LQR (page 119, dont "les mots ne sont jamais 
        utilisés dans la conversation") est l'inverse de la LTI selon 
        Goebbels : "nous parlons la langue du peuple... il faut utiliser 
        son langage, parler sa propre langue". Il est vrai que le langage 
        actuel véhicule le "politiquement correct" et qu'on le 
        veuille ou non on en est imprégné, exactement comme il arrive 
        aux femmes d'avoir des propos misogynes sans même en avoir conscience. 
        Mais j'aurais aimé plus d'analyse à partir des mots que 
        cite l'auteur, comment interpréter tel ou tel ? quel sens 
        y donner ? Les exemples sont très bons mais après les 
        avoir cités, Hazan se livre à une critique idéologique 
        globale sans analyser le choix de ces mots.  
        Il est violent ("on vit les banquiers sauter par les fenêtres, 
        ce qui malheureusement ne s'est jamais reproduit"), parfois excessif 
        ("la banalité du mal" qu'il dénonce aujourd'hui 
        n'est tout de même pas la même que celle du temps de la LTI) ; 
        à d'autres moments je peux être d'accord mais le lien ne 
        me paraît pas évident.  
        L'apathie, le consensus mou, sont-ils exprimés par :  
        Problème, au lieu de question 
        Réponse pour solution 
        Expertise pour expérience 
        Restructuration pour licenciements 
        Mouvements sociaux pour grèves 
        Demandeurs d'emploi pour chômeurs 
        Handicapés pour infirmes, etc.  
        Familles modestes pour pauvres  
        C'est moins violent (comme malentendant ou malvoyant pour 
        sourd ou aveugle), 
        moins discriminant (comme agent de surface au lieu de homme 
        de ménage). 
        Donc a priori pas forcément une mauvaise chose, comme l'auteur 
        le dit lui-même "on pourrait y voir comme un effet de la pacification 
        des murs". Bien sûr, on peut dire que ce langage sert 
        le pouvoir, mais que dit le peuple ? Il dit chômeur, 
        pas demandeur d'emploi. 
        Il dit grève, licenciement, pauvre... Il n'est pas dupe, 
        contrairement à ce que semble penser Hazan. A côté 
        de ce relevé sémantique, Hazan procède à une 
        critique idéologique/politique qui me semble détachée 
        du propos initial. Hazan a une vision monolithique de "l'opinion", 
        mais il n'en est rien. Que ce soit à propos du chauffeur de Florence 
        Aubenas (p.92), ou de l'anti-américanisme, ou du lundi de Pentecôte 
        (son renvoi en p. 112 est faux, nombreux ont fait la comparaison 
        avec la vignette auto). L'opinion justement a réagi au langage 
        du pouvoir. En fait, il ne fait pas confiance au "peuple" qui 
        ne s'en laisse pas forcément compter, mais n'en tire pas forcément 
        les conclusions que l'auteur souhaiterait (vote Le Pen ). Le système 
        politico-économique du 19ème et début 20ème 
        a disparu et donc le même vocabulaire ne peut s'appliquer. Il est 
        vrai que les exclus ne sont pas forcément des opprimés, 
        ou des exploités, mais ce sont bien des victimes, contrairement 
        à ce que dit Hazan. Même A. Laguiller dit "travailleurs" 
        (et non ouvriers). C'est en effet "le remplacement du capitalisme 
        industriel par le capitalisme financier" là, je suis d'accord. 
        Conclusion : Cet essai est aussi un pamphlet, et comme tel, il dit des 
        vérités, des demi-vérités, des exagérations 
        qui servent son auteur parfois de mauvaise foi. C'est dans l'ensemble 
        une bonne critique mais j'ai du mal à en percevoir la finalité. 
        Mais au moins, comme tous les essais, c'est une source de discussion. 
         
        Sabine  
        L'analyse est pointue, trop peut-être (j'ai été parfois 
        larguée par des tournures syntaxiques périlleuses pour mon 
        petit esprit). Son livre reprend un thème cher aux bacheliers de 
        philo : les mots peuvent-ils dire le monde ? Vaste sujet, et 
        qu'Éric Hazan n'aborde pas assez. J'aurais aimé qu'il dépasse 
        ses simples constats linguistiques et qu'il pousse la réflexion 
        au-delà : comment les mots peuvent-ils changer la réalité 
        des choses ? En quoi les mots perversent-ils la réalité, 
        mais aussi comment les mots changent de sens parce que la réalité 
        change... Sur l'évolution du langage, beaucoup de livres ont été 
        écrits, et je me souviens de deux bouquins : l'un très 
        sérieux de Claude Hagège, très intéressant, 
        mais je n'ai plus le titre en mémoire, l'autre, très drôle 
        d'un ex chroniqueur du Nouvel Observateur, Alain Schiffres : le 
        langage des Parisiens, ou quelque chose comme cela. Il étudiait 
        de façon très humoristique l'évolution du langage 
        "bobo", publicitaire, etc. En résumé, ce petit 
        livre est intéressant, mais parfois difficile, ennuyeux et n'abordant 
        pas assez les causes de cette évolution langagière. 
         
        Liliane (qui a proposé ce livre) 
        Vous vivez dans le meilleur monde possible, tant mieux pour vous. Pour 
        moi, LQR - trop court - débouche sur l'idée 
        qu'il faut changer les institutions et sortir de la Ve République. 
        C'est comme le livre de Saramago La Lucidité. Ce petit livre 
        pose des questions que certains ne veulent pas entendre. Il y a un problème 
        de conservatisme, une inquiétude sur ce qui se passera demain. 
        Ce livre parle de cette inquiétude. 
      Marie-Laure 
        Éric Hazan, est pour moi un engagé professionnel et intellectuel. 
        Son travail à l'intérieur de ce livre a été : 
        le décryptage des mécanismes de domination. Le lien avec 
        la langue de propagande du troisième Reich m'a impressionnée 
        par le biais de la page 21, quand le docteur P. fait siens les propos 
        antisémites des nazis alors qu'il est juif et qu'il s'adresse à 
        des voisins, des amis juifs du même ghetto que lui. Pénétrer 
        dans les mots à ce point, pour ne plus entendre ce que l'on est 
        entrain de dire c'est... étonnant. Les références 
        au monde du travail sont pertinentes aussi : la différence 
        entre entrepreneur et patron, le soin pris par nos élites à 
        positiver est flippant. Le mot crise qui normalement se situe dans un 
        moment bref de l'espace temps, alors que là elle dure des lustres. 
        Bref, bien que j'aie conscience de cette manipulation, je n'avais jamais 
        analysé les mots dans ce sens. Je ne peux m'empêcher de repérer 
        ces euphémismes dans mon quotidien et j'essaie d'en employer le 
        moins possible. Les termes guerriers : opération coup de poing, 
        bavure pour meurtre, fer de lance, etc. Le maghrébin, citoyen d'un 
        pays qui n'existe pas, un marocain, un algérien, un tunisien d'accord 
        mais... et tous islamistes en plus... Plus d'ouvriers spécialisés 
        mais des travailleurs émigrés. 
        Et les polonais, les portugais, les italiens, émigrés ? 
        Les mots en ismes... 
        Enfin tout cela me dérange, toute cette novlangue. J'ignore si 
        j'ai su transcrire ce que j'ai ressenti au travers ce livre mais ce que 
        je sais : c'est que je n'aime pas, dans cette manipulation, c'est 
        qu'elle sert à faire de moi et de nous des décervelés. 
       
      
      Marie Thé  
        Je me doutais bien qu'on était manipulés par le langage 
        d'aujourd'hui, mais à ce point... 
        Ce livre m'a ouvert les yeux et m'invite à ouvrir davantage les 
        oreilles, sur tout. 
        Je n'avais pas réalisé que certains mots couramment utilisés 
        aujourd'hui permettaient d'en masquer d'autres qui poseraient problème. 
        Ainsi (p.107) on ne parle plus d'exploités ou d'opprimés, 
        mais d'exclus. Où sont passés les premiers ? Mieux 
        vaut ne pas y penser sans doute, car qui dit exploité ou opprimé, 
        dit exploiteur ou oppresseur. "D'ailleurs, non seulement les exclus 
        ne sont victimes de personne, mais ce qui leur arrive est le plus souvent 
        de leur faute." (p. 108) Autre chose, un peu plus loin : maintenant 
        il est question de maintenir "la cohésion sociale", autre 
        façon de dire "l'ordre". (p.110) etc., etc. Il faudrait 
        que le contenu de ce livre se répande dans toute les couches sociales ; 
        pardon, dans toutes les classes sociales.  
        D'ailleurs, pourquoi en parle-t-on si peu, de ce livre ?  
      Jessica  
        Au début je me suis dit "chouette, on va s'entendre... ce 
        que tu me dis là, je le ressens et le vois chaque jour et m'en 
        affole un peu plus à chaque fois", puis bon, les premières 
        pages passées, il se répète beaucoup. Et toujours 
        la même démonstration : terme + exemple... 
        à force, je me suis lassée du procédé. Et 
        puis bon, une notion après l'autre finalement, c'est la même 
        dénonciation. 
        Mais ça n'enlève en rien l'intérêt du livre, 
        et l'écurement ressenti à sa lecture en constatant, 
        une fois de plus, toute cette manigance. Je pense y jeter un coup d'il 
        régulièrement, comme ça, histoire de rester vigilante. 
        Et le conseillerai malgré tout. 
       
       
        Mon  
        J'ai abordé ce livre avec intérêt. Tout ce qui a trait 
        au langage médiatique et publicitaire m'a fait prendre conscience 
        de cette intoxication que nous subissons : euphémismes, mots 
        masqués, vocabulaire belliqueux... Je me rends compte que je repère 
        beaucoup mieux ces mots dans les productions quotidiennes et habituelles 
        de tous nos médias. J'avoue que mon intérêt s'est 
        par la suite émoussé. Cependant tout ce qui est dit de l'emploi 
        de «maghrébin», «quartier sensible», « 
        islamiste » m'a paru très juste, j'ai survolé (donc 
        très mal lu) la fin. 
      Jean-Luc  
        Ce livre met en lumière un phénomène sociologique 
        bien connu : toute société, toute classe sociale, tout 
        groupe, à chaque époque a son langage conforme à 
        ses intérêts. Il met en relief le langage politiquement et 
        socialement correct de la 5ème République qui aboutit à 
        camoufler, adoucir, embellir... la réalité, ceci au bénéfice 
        des élites, des puissants : la crise économique est 
        plutôt appelée ralentissement de croissance, les chômeurs 
        sont plutôt des demandeurs d'emploi, les pauvres deviennent des 
        gens à revenus modestes, la démocratie n'est que l'exploitation 
        des pauvres par les classes dominantes, etc. 
        Ce procès me semble partial, car que dire de la langue de bois 
        de multiples partis, mouvements révolutionnaires, clubs de pensée, 
        voire mouvements charitables et humanitaires : le grand soir, l'avenir 
        radieux, le sens de l'histoire, les masses laborieuses... autant de mots 
        tout faits, mots valises qui ont accompagné combien de révolutions 
        avortées. C'est plus une diatribe qu'un essai. 
      Lil  
        De l'importance, à toute époque, de l'utilisation de la 
        langue, à des fins plus ou moins avouables, mais toujours au bénéfice 
        des utilisateurs. A partir de là, je n'ai pas appris grand chose 
        de ce livre. Que l'époque soit confuse, en perte de vitesse et 
        de valeurs, dédiée toute entière au dieu « profit », 
        au détriment de l'être humain et de l'environnement, que 
        les gens de pouvoir, conscient de ne pouvoir stopper notre inéluctable 
        progression vers le mur, tentent de masquer leur impuissance (tout en 
        profitant de la situation)..., tout cela peut expliquer le règne 
        de ce langage d'économistes et de publicitaires. Pour ma part, 
        je suis depuis longtemps convaincue, que nous sommes matraqués, 
        manipulés, intoxiqués par le biais des médias et 
        de ceux qui s'en servent (quels qu'ils soient). Chaque mot correspond 
        à un besoin précis : les Inuit ont 20 termes à 
        leur disposition pour désigner « la neige », 
        nous nous avons « la maîtrise quantitative des flux et 
        les procédures d'éloignement » pour parler d'immigration. 
        On aimerait, cependant, qu'à la suite de ce pamphlet virulent, 
        Éric Hazan nous dise ce qu'il propose. 
      Nicole  
        Le sujet est brûlant, mais j'ai été déçue 
        vers la moitié du livre, ce n'était qu'un inventaire, et 
        les discours de M. Raffarin m'ont toujours paru être des modèles 
        du genre, pas si particulier à la 5e République me semble-t-il. 
        Je me suis donc arrêtée en route et ai sauté à 
        la conclusion, qui finalement résume très bien le livre 
        et aurait fait un bon article dans un quelconque journal ! 
        Pourquoi ouvert à moitié, je me le demande en donnant mon 
        avis, je me trouve généreuse. 
       
       Jean-Pierre  
        Ce livre est effrayant, non pas tant par ce qu'il dévoile car nous 
        ne sommes pas naïfs au point de croire à l'angélisme 
        du monde, mais par les exemples concrets qui prouvent la manipulation 
        constante que nous subissons, à notre corps défendant. Au 
        début était le Verbe, celui qui nous a faits humains, plus 
        que le rire ou l'intelligence. Qu'il soit aujourd'hui utilisé au 
        point de devenir le comité central du mensonge, de l'hypocrisie 
        et du trompe-l'il, pourrait nous le faire haïr et nous entraîner 
        dans le gouffre du silence salvateur. Mais ne serait-ce pas le but recherché ? 
        À vrai dire, n'en a-t-il pas toujours été ainsi ? 
        Depuis qu'un singe a pris la parole, il s'en est servi pour asservir. 
        Il est vrai que de nos jours, le fait est conscient, enseigné, 
        pratiqué à grande échelle par les tenants des rênes, 
        les décortiqueurs du langage et de ses chausse-trappes, les illusionnistes 
        de la preuve par neuf, les dérobeurs du bon sens incontournable, 
        les adorateurs du pragmatisme roi. 
        Tout ce qui est véridique est rejeté : la spontanéité, 
        la sincérité, la franchise, au profit du calcul, de la spéculation, 
        de la publicité. D'ailleurs, on ne confronte pas les idées, 
        on communique. On n'échange pas, on commerce. On ne critique pas, 
        on fait de la réclame. 
        L'auteur nous en livre des paquets, des preuves de cette gigantesque manipulation. 
        C'est peut-être bizarrement ce qui finit par rendre sa démonstration 
        un peu lourde, et moins crédible qu'avec un peu plus de retenue. 
        Il reste cependant de la lecture un besoin de vigilance et un volonté 
        de prise de conscience de la nécessité de garder les yeux 
        ouverts pour que nous voyions toujours les vessies là où 
        certains voudraient nous faire voir des lanternes. 
       
       
       
      
      
        
       
 
     
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